
Du 29 octobre au 23 novembre 2024, l’artiste autrichienne Gischt était en une résidence...
Le 8 avril 2019 — par Trempo
Pourquoi parler d’un rap pluriel, alors qu’il est si singulier ? Depuis son explosion dans les années 90, jusqu’à la multiplication de propositions que l’on connaît aujourd’hui, le rap français a toujours fait entendre des voix discordantes. Doit-il copier les américains ou refléter l’exception culturelle française ?
Quel discours pour quelle analyse de société ? Rap conscient, alternatif, ou divertissement ? Auto-tune ou pas auto-tune ? Giroud ou Benzema en pointe ?
Ce ne sont pas Medhi Maïzi (Abcdr du Son, La Sauce, No Fun…) et Jean Morel (Grünt), journalistes spécialisés et bousillés de rap, qui s’en plaindront.
Invités à Trempolino par le webzine Backpackerz dans le cadre du festival Hip Opsession, ils échangent sur la pluralité du rap français, ses anciennes et ses nouvelles écoles et essaieront peut-être de résoudre la quadrature du cercle.
Captation/montage : Le Fil Good Media